Le Forum

Donc j'ai l'honneur d'anoncer à Ryo et Enaya [Qui est bien absente en ce moment..], que le forum est (presque) lancé.
C'est à dire que nous avons l'hébergeur, le nom, le forum est créé.. Mais comment dire..
Il n'y a rien
Donc à vous de faire vivre le forum

http://higure.xooit.com

D'ailleurs Nasaï, si tu pouvais nous faire part de l'avancement du diz', ce serait génial. Enfin, même si t'es pas motivé, wala kwa

Si tu veux, j'ai pas dutout d'inspiration..

Hello !
Pour commencer, je vous dois des explications pour cette – longue – absence. Déjà, non, je n’ai pas disparu de la surface de la planète, bien que je l’aie fortement – et à plusieurs reprises – souhaité au cours du mois de juin, qui fut de ceux que je ne souhaite à personne de vivre. Je ne me donne pas pour autant d’excuses, juste des raisons.

Deux, précisément.

La première consiste en les privations que j’ai dû subir durant ce même mois de juin, fin mai également. Je ne désire pas m’étaler sur de mauvais souvenirs, aussi, pour simplifier, dirai-je que c’est en rapport avec des divergences d’opinion avec mes parents à propos de mon orientation. Et encore, les mots demeurent faibles, à mon grand regret. Ils m’en ont fait baver, et voir de toutes les couleurs, et si j’ai gagné mon propre combat, mes parents n’ont pas lésiné sur les punitions. Radins, oui, mais pas toujours, à mon grand regret. Et pas forcément idiots non plus, hélas : ils ont remarqué que, entre autres choses, l’une d’elles me tenait particulièrement à cœur : l’ordinateur…
…Alors, évidemment, ils ont tapé dedans. Plus de connexion, plus d’ordi, ou très peu. Le bahut, avec son CDI, me permettait de brefs temps de connexion, mais pas plus ; à dire vrai, je devais restreindre le tout au maximum pour en profiter… un minimum.
Oui, vers le 15 juin, c’était passé.
Ce qui fait que j’en viens à ma deuxième raison… Après une aussi longue absence, je ne pouvais me permettre de revenir comme ça, sans prévenir, sans… sans rien. Comme je l’ai dit à rag, cela me posait – et me pose encore – de gros problèmes de conscience. Vous avez bossé comme des malades, vous avez accompli quelque chose de nickel, parfait, sur lequel je n’ai rien à redire. Aussi, je ne me sens pas forcément en droit d’avoir mon mot à dire… J’avoue être assez paranoïaque, par moments, mais je ne me voile pas non plus la face.
Je veux bien revenir, aider, faire mon possible, mais si vous n’y tenez pas, je ne pourrai que comprendre, au vu de ce que je pense de moi…

A vous de juger…